Un projet de l’Université Concordia visant à protéger des points chauds de la biodiversité dans des cours d’eau situés en milieu agricole
Notre bureau de Québec fournit des conseils pro bono à une équipe de l’Université Concordia afin de connaître la meilleure voie à adopter pour protéger de façon durable les habitats qui seront restaurés, en tentant de trouver un équilibre entre des mesures de protection obligatoires et l’acceptation par les producteurs agricoles qui perdront des terres cultivables. L’Université Concordia, de Montréal, a lancé un projet de recherche visant à restaurer des cours d’eau situés en région agricole et à leur redonner l’espace dont ils ont besoin.
Les pratiques agricoles mondiales, notamment l’utilisation de pesticides et de fertilisants et la réglementation insuffisante pour protéger les habitats naturels, portent un dur coup à la biodiversité de la planète. À ce titre, les déclins les plus rapides enregistrés au cours des quatre dernières décennies touchent les écosystèmes d’eau douce, soit les rivières, les ruisseaux et les voies navigables, qui abritent un nombre extraordinaire d’espèces et qui sont également essentiels pour conserver et pérenniser les milieux humides, lesquels constituent des aires de reproduction pour environ 40 pour cent des espèces de la terre.
Les pratiques agricoles mondiales, notamment l’utilisation de pesticides et de fertilisants et la réglementation insuffisante pour protéger les habitats naturels, portent un dur coup à la biodiversité de la planète. À ce titre, les déclins les plus rapides enregistrés au cours des quatre dernières décennies touchent les écosystèmes d’eau douce, soit les rivières, les ruisseaux et les voies navigables, qui abritent un nombre extraordinaire d’espèces et qui sont également essentiels pour conserver et pérenniser les milieux humides, lesquels constituent des aires de reproduction pour environ 40 pour cent des espèces de la terre.